Seine-MariTEAM76
- POUR VOUS SERVIR
- Rechercher
-
Services en ligne
- Mes démarches en ligne
- Pass Jeunes 76
- Subvention ZFE-m
- Handipass' sports 76
- Aide au sport
- Aide aux Collégiens pour la Restauration et l'Internat
- Tope là !
- Téléservice personnes âgées ou en situation de handicap
- Archives / Recherches
- Aides clubs seniors
- Trouver mon collège
- Marchés publics
- Aides communes / EPCI
- Parc départemental de matériel
- Offres d'emploi
- Transports adaptés élève / étudiant en situation de handicap
- Etablissement d'accueil du jeune enfant
- Extranet NOTAIDE-SOCIALE 76
Les archives insolites : Le diamant du Robec
Du 22 février au 5 mars, les Archives départementales proposent chaque jour, hormis les week-ends, un sujet à la fois historique et insolite. Aujourd’hui : le diamant du Robec.
Depuis toujours, le diamant est la pierre précieuse par excellence. Elle fascine les hommes, en particulier les anciens souverains et grands de ce monde, qui n’hésitaient pas à dépenser de véritable fortune pour acquérir des joyaux d’exception.
En 1676, trois hommes ont trouvé un diamant alors qu’ils curaient le Robec. Mais à qui appartient ce diamant trouvé dans cette rivière ? C’est la question posée au Parlement de Normandie lors d’un procès qui s’est tenu la même année. Après délibération, il revient aux échevins qui en feront don pour les pauvres de la ville.
Certaines de ces pierres sont aujourd’hui très célèbres, pour leur taille, pour leur histoire ou pour leur appartenance à des personnages célèbres.
Aujourd’hui, ces joyaux uniques sont conservés précieusement dans des musées, palais ou des collections privées :
- Le Kho-I-Noor (“Montagne de lumière“ en nom indien), véritable joyau de la Couronne Britannique
- Le Régent, considéré comme étant le plus beau de la Couronne de France
- Le Cullinan, diamant incolore est le plus gros diamant jamais trouvé
- Le Vert de Dresde, il est le plus gros diamant naturel de couleur vert jamais trouvé
Ce n’est qu’à partir du XVe siècle que les femmes ont commencé à porter cette pierre précieuse longtemps réservée aux hommes, signe de virilité et d’audace. C’est la maîtresse de Charles VII, Agnès Sorel, décédée au Mesnil-sous-Jumièges, qui pour l’époque a osé enfreindre les règles. A partir des premières esquisses de taille sont nés les critères esthétiques qui féminiseront le diamant pour être à ce jour le meilleur ami de la femme.