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Des plages sous haute surveillance
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Depuis début juillet et pour tout l’été, le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS 76) réactive son dispositif de surveillance des plages le long des 130 km de littoral de la Seine-Maritime. Travaillant main dans la main avec les communes, le Département accompagne cette mission au profit des habitants.
Jeudi 6 juillet, sur la plage de Saint-Aubin-sur-Mer, un groupe de nageurs-sauveteurs se livre à un petit exercice simulant une situation de détresse. Les vacances d’été démarrent et avec elles les joies de la plage mais aussi les risques de noyades. Le plus souvent, c’est surtout la peur ou la panique qui peut tétaniser les baigneurs partis s’aventurer trop loin. Pour éviter que l’incident ne tourne au drame, des nageurs-sauveteurs surveillent ainsi les plages durant tout l’été pour prévenir les accidents et le cas échéant apporter les premiers secours.
La démonstration aura duré quelques minutes, donnant l’occasion aux équipes du SDIS 76 venus pour le lancement annuel de la saison, de rappeler les contours de leurs missions, en présence du président Bertrand Bellanger, de plusieurs élus et d’André Gautier, président du Conseil d’administration du SDIS 76. Le choix de la commune n’a pas été fait au hasard : Saint-Aubin-sur-Mer est en effet la dernière en date à avoir rejoint ce dispositif de surveillance des plages. A ce jour, les pompiers gèrent 24 des 28 postes de secours existants (les autres postes étant gérés soit par la SNSM, soit par les CRS) dont 21 sont situés sur le littoral et trois autres sur les bases de loisirs de Bédanne, du Mesnil-sous-Jumièges et du Lac de Caniel. Et depuis cette année, le Département a décidé de prendre à sa charge 50% du coût de cette surveillance, soit pour la collectivité un engagement de 150 000 € par an. Au total, ce sont ainsi quelques 60 nageurs-sauveteurs volontaires qui se mobilisent chaque été pour assurer la sécurité des vacanciers.
« Tous les ans au mois de septembre, nous menons d’ailleurs des campagnes pour recruter des surveillants de plage que nous formons ensuite au brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique (BNSSA) » a indiqué le lieutenant Fabrice Lemesle, responsable du dispositif et du centre de Surveillance des baignades et activités nautiques (SBAN), présent sur place. Répartis par binômes ou par équipe de trois, les nageurs-sauveteurs assurent dans chaque poste de secours une permanence quotidienne de 11h à 19h, cet été jusqu’au 3 septembre. A compter de cette année, ils seront également équipés d’un nouveau matériel paramétrique (patch défibrillateur, matériel pour mesurer la tension et surveiller le pouls) acquis grâce à une subvention exceptionnelle du Département qui facilitera ainsi l’étape du bilan transmis ensuite au médecin régulateur.
Mais avant même la prise en charge des victimes, la première mission des nageurs-sauveteurs, accompagnés dans cette tâche par des jeunes en service national universel (SNU), est d’abord et avant tout la prévention : rappeler les consignes de vigilance et bien sûr vérifier la couleur du drapeau. Rouge, c’est que la baignade est interdite, jaune, attention danger et vert, vous pouvez vous baigner en toute sérénité !
Jeudi 6 juillet, sur la plage de Saint-Aubin-sur-Mer, un groupe de nageurs-sauveteurs se livre à un petit exercice simulant une situation de détresse. Les vacances d’été démarrent et avec elles les joies de la plage mais aussi les risques de noyades. Le plus souvent, c’est surtout la peur ou la panique qui peut tétaniser les baigneurs partis s’aventurer trop loin. Pour éviter que l’incident ne tourne au drame, des nageurs-sauveteurs surveillent ainsi les plages durant tout l’été pour prévenir les accidents et le cas échéant apporter les premiers secours.
La démonstration aura duré quelques minutes, donnant l’occasion aux équipes du SDIS 76 venus pour le lancement annuel de la saison, de rappeler les contours de leurs missions, en présence du président Bertrand Bellanger, de plusieurs élus et d’André Gautier, président du Conseil d’administration du SDIS 76. Le choix de la commune n’a pas été fait au hasard : Saint-Aubin-sur-Mer est en effet la dernière en date à avoir rejoint ce dispositif de surveillance des plages. A ce jour, les pompiers gèrent 24 des 28 postes de secours existants (les autres postes étant gérés soit par la SNSM, soit par les CRS) dont 21 sont situés sur le littoral et trois autres sur les bases de loisirs de Bédanne, du Mesnil-sous-Jumièges et du Lac de Caniel. Et depuis cette année, le Département a décidé de prendre à sa charge 50% du coût de cette surveillance, soit pour la collectivité un engagement de 150 000 € par an. Au total, ce sont ainsi quelques 60 nageurs-sauveteurs volontaires qui se mobilisent chaque été pour assurer la sécurité des vacanciers.
« Tous les ans au mois de septembre, nous menons d’ailleurs des campagnes pour recruter des surveillants de plage que nous formons ensuite au brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique (BNSSA) » a indiqué le lieutenant Fabrice Lemesle, responsable du dispositif et du centre de Surveillance des baignades et activités nautiques (SBAN), présent sur place. Répartis par binômes ou par équipe de trois, les nageurs-sauveteurs assurent dans chaque poste de secours une permanence quotidienne de 11h à 19h, cet été jusqu’au 3 septembre. A compter de cette année, ils seront également équipés d’un nouveau matériel paramétrique (patch défibrillateur, matériel pour mesurer la tension et surveiller le pouls) acquis grâce à une subvention exceptionnelle du Département qui facilitera ainsi l’étape du bilan transmis ensuite au médecin régulateur.
Mais avant même la prise en charge des victimes, la première mission des nageurs-sauveteurs, accompagnés dans cette tâche par des jeunes en service national universel (SNU), est d’abord et avant tout la prévention : rappeler les consignes de vigilance et bien sûr vérifier la couleur du drapeau. Rouge, c’est que la baignade est interdite, jaune, attention danger et vert, vous pouvez vous baigner en toute sérénité !