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Service civique et coopération internationale : le parcours de Kelly et Stella
Publié : Il y a 29 jours
À quelques jours de leur retour au Burkina Faso, Kelly Da et Stella Zeba, volontaires en service civique international, reviennent sur les huit mois passés en Seine-Maritime. Entre projets solidaires et immersion culturelle, ces jeunes femmes ont mis leur expérience au service de la coopération entre les deux territoires.
Partir à 6 000 kilomètres de chez elles pour s’engager dans des projets de solidarité internationale, c’est le choix qu’ont fait Kelly Da et Stella Zeba. Originaires de Ouagadougou, les deux jeunes femmes de 24 et 25 ans sont arrivées en France en février dernier pour exercer des missions de service civique international dans le cadre d’un partenariat de coopération entre le Département de la Seine-Maritime et la province du Bam, située au nord du Burkina Faso.
« Nous voulions découvrir une autre culture, une autre manière de vivre et en même temps travailler sur des projets humanitaires », explique Kelly. Pour les deux jeunes Burkinabés, cette expérience représentait un double défi : s’intégrer dans un nouvel environnement et mettre en pratique leurs compétences dans un cadre professionnel. Leurs missions respectives, bien que distinctes, convergent autour d'un objectif commun : renforcer les liens entre la France et le Burkina Faso à travers des actions concrètes.
Kelly et Stella ont toutes deux été affectées, au sein des services départementaux, à la Direction de la Jeunesse, des Sports et de la Coopération Internationale. Kelly a travaillé avec des associations françaises pour accompagner des projets visant à soutenir son pays d'origine. « J’ai aussi eu la chance de rencontrer des collégiens et de leur parler de la coopération entre nos deux pays, notamment à travers des initiatives où les élèves collectent des fonds pour soutenir des actions au Burkina Faso », raconte-t-elle avec fierté. Stella, de son côté, a apporté son soutien à des jeunes désireux de s’engager dans des projets solidaires à l’étranger. « J’ai participé à leur formation avant leur départ en mission et je les ai accompagnés dans leurs démarches pour financer leurs projets », explique-t-elle.
Cette aventure humaine et professionnelle a profondément marqué Kelly et Stella. « Ces huit mois m’ont aidée à mieux me connaître, à renforcer mon autonomie et ma confiance en moi », confie Kelly. Pour Stella, l’expérience est tout aussi enrichissante : « Nous avons fait des rencontres incroyables, des personnes qui nous ont soutenues dès notre arrivée. Grâce à elles, nous ne nous sommes jamais senties seules, même loin de chez nous ». En plus de l’aspect humain, elles évoquent également l’adaptation aux différences climatiques : « Il a fallu s’habituer au froid et à la pluie, mais maintenant, avec un bon manteau et un parapluie, on est parées », plaisante Stella.
Mais l'heure du départ approche. Dans quelques jours, les deux jeunes femmes retourneront au Burkina Faso, leurs missions en Seine-Maritime arrivant à leur terme. Stella souhaite finir son master en « Gouvernance de la sécurité globale », tandis que Kelly prévoit de s’investir dans de nouveaux projets humanitaires. Et si l’occasion se présente, elles aimeraient bien voyager à nouveau, en France, en Europe, ou dans d’autres pays d’Afrique. « L’aventure ne fait que commencer », conclut Stella avec enthousiasme.
Partir à 6 000 kilomètres de chez elles pour s’engager dans des projets de solidarité internationale, c’est le choix qu’ont fait Kelly Da et Stella Zeba. Originaires de Ouagadougou, les deux jeunes femmes de 24 et 25 ans sont arrivées en France en février dernier pour exercer des missions de service civique international dans le cadre d’un partenariat de coopération entre le Département de la Seine-Maritime et la province du Bam, située au nord du Burkina Faso.
« Nous voulions découvrir une autre culture, une autre manière de vivre et en même temps travailler sur des projets humanitaires », explique Kelly. Pour les deux jeunes Burkinabés, cette expérience représentait un double défi : s’intégrer dans un nouvel environnement et mettre en pratique leurs compétences dans un cadre professionnel. Leurs missions respectives, bien que distinctes, convergent autour d'un objectif commun : renforcer les liens entre la France et le Burkina Faso à travers des actions concrètes.
Kelly et Stella ont toutes deux été affectées, au sein des services départementaux, à la Direction de la Jeunesse, des Sports et de la Coopération Internationale. Kelly a travaillé avec des associations françaises pour accompagner des projets visant à soutenir son pays d'origine. « J’ai aussi eu la chance de rencontrer des collégiens et de leur parler de la coopération entre nos deux pays, notamment à travers des initiatives où les élèves collectent des fonds pour soutenir des actions au Burkina Faso », raconte-t-elle avec fierté. Stella, de son côté, a apporté son soutien à des jeunes désireux de s’engager dans des projets solidaires à l’étranger. « J’ai participé à leur formation avant leur départ en mission et je les ai accompagnés dans leurs démarches pour financer leurs projets », explique-t-elle.
Cette aventure humaine et professionnelle a profondément marqué Kelly et Stella. « Ces huit mois m’ont aidée à mieux me connaître, à renforcer mon autonomie et ma confiance en moi », confie Kelly. Pour Stella, l’expérience est tout aussi enrichissante : « Nous avons fait des rencontres incroyables, des personnes qui nous ont soutenues dès notre arrivée. Grâce à elles, nous ne nous sommes jamais senties seules, même loin de chez nous ». En plus de l’aspect humain, elles évoquent également l’adaptation aux différences climatiques : « Il a fallu s’habituer au froid et à la pluie, mais maintenant, avec un bon manteau et un parapluie, on est parées », plaisante Stella.
Mais l'heure du départ approche. Dans quelques jours, les deux jeunes femmes retourneront au Burkina Faso, leurs missions en Seine-Maritime arrivant à leur terme. Stella souhaite finir son master en « Gouvernance de la sécurité globale », tandis que Kelly prévoit de s’investir dans de nouveaux projets humanitaires. Et si l’occasion se présente, elles aimeraient bien voyager à nouveau, en France, en Europe, ou dans d’autres pays d’Afrique. « L’aventure ne fait que commencer », conclut Stella avec enthousiasme.