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La sortie Seinoscope du week-end : le festival Archéo Jazz
Publié : Il y a 3 mois
Du 26 au 30 juin, le château médiéval de Blainville-Crevon accueille la quarante-cinquième édition d’Archéo Jazz, un rendez-vous bien connu des amateurs de musique jazz, rock ou world.
Depuis 1977, à chaque belle saison, les ruines médiévales du château blainvillais résonnent de musiques d’ailleurs, à cuivres, à cordes ou à percussions. Elles peuvent être soulignées par des artistes aussi différents et emblématiques que le Buena Vista Social Club, Claude Nougaro, Cesaria Evora, Michel Petrucciani et bien d’autres encore. Cette année, la recette du succès ne change pas : les têtes d’affiche, premières parties et concerts gratuits en bonus sont tout aussi diversifiés et cosmopolites.
Hier, Ibrahim Maalouf, le trompettiste le plus connu de l’Hexagone, est venu défendre son dernier album. Aujourd’hui jeudi, c’est la chanteuse Imany (en photo) qui revisite des tubes intemporels via le pouvoir combiné de huit violoncelles et de sa voix grave aux accents de soul, folk et blues. Les reprises vont de Radiohead à Bob Marley en passant par Donna Summers ou Elton John.
Demain soir, vendredi, c’est Yuri Buenaventura, qui entre en scène. Originaire de Colombie, « le king de la salsa », habitué des tournées mondiales à guichets fermés, vient jouer sa musique fortement empreinte de sonorités afro-caribéennes. Samedi, c’est un contrebassiste et un bassiste américain qui a su se faire un prénom : Kyle Eastwood. Ce spécialiste du jazz ayant sorti plus d’une dizaine d’albums a composé pour des bandes originales de film réalisés par son père, Clint. Et c’est justement parmi celles-ci qu’il a élaboré son nouveau répertoire live, dont certaines œuvres sont réarrangées pour orchestre symphonique. L’autre artiste de la soirée est China Moses, auteure-compositrice à la voix alto qui métisse jazz, blues et funk. Quant à la fin du festival, dimanche, elle est marquée par un duo, Thibault Cauvin & -M, présentant un récital à deux guitares. Les billets pour cette date sont cependant tous écoulés.
Pour en savoir plus, il faut se rendre sur la page Seinoscope dédiée à Archéo Jazz 2024.
Depuis 1977, à chaque belle saison, les ruines médiévales du château blainvillais résonnent de musiques d’ailleurs, à cuivres, à cordes ou à percussions. Elles peuvent être soulignées par des artistes aussi différents et emblématiques que le Buena Vista Social Club, Claude Nougaro, Cesaria Evora, Michel Petrucciani et bien d’autres encore. Cette année, la recette du succès ne change pas : les têtes d’affiche, premières parties et concerts gratuits en bonus sont tout aussi diversifiés et cosmopolites.
Hier, Ibrahim Maalouf, le trompettiste le plus connu de l’Hexagone, est venu défendre son dernier album. Aujourd’hui jeudi, c’est la chanteuse Imany (en photo) qui revisite des tubes intemporels via le pouvoir combiné de huit violoncelles et de sa voix grave aux accents de soul, folk et blues. Les reprises vont de Radiohead à Bob Marley en passant par Donna Summers ou Elton John.
Demain soir, vendredi, c’est Yuri Buenaventura, qui entre en scène. Originaire de Colombie, « le king de la salsa », habitué des tournées mondiales à guichets fermés, vient jouer sa musique fortement empreinte de sonorités afro-caribéennes. Samedi, c’est un contrebassiste et un bassiste américain qui a su se faire un prénom : Kyle Eastwood. Ce spécialiste du jazz ayant sorti plus d’une dizaine d’albums a composé pour des bandes originales de film réalisés par son père, Clint. Et c’est justement parmi celles-ci qu’il a élaboré son nouveau répertoire live, dont certaines œuvres sont réarrangées pour orchestre symphonique. L’autre artiste de la soirée est China Moses, auteure-compositrice à la voix alto qui métisse jazz, blues et funk. Quant à la fin du festival, dimanche, elle est marquée par un duo, Thibault Cauvin & -M, présentant un récital à deux guitares. Les billets pour cette date sont cependant tous écoulés.
Pour en savoir plus, il faut se rendre sur la page Seinoscope dédiée à Archéo Jazz 2024.